Dans le tome 10 de sa saga, M.C. Beaton transforme littéralement un conte de fée en situation cauchemardesque.
Agatha Raisin est plongée dans la douleur : James, le grand amour de sa vie, l’a abandonnée. La belle intrépide consulte une diseuse de bonne aventure qui la rassure. Son âme sœur, ce n’était pas James mais un homme qu’elle est censée rencontrer dans le Norfolk. Relativement rassurée, Agatha décide de laisser Carsely derrière elle. C’est dans un cottage de Fryfam qu’elle choisit désormais de vivre. Elle se lance alors dans la rédaction d’un polar qu’elle intitule Panique au manoir. Un malheureux concours de circonstances veut que des phénomènes pour le moins mystérieux dirigent les soupçons sur Agatha.
D’après les critiques, ce dixième tome fait la part belle à l’enquête et non à la vie privée d’Agatha Raisin, ce qui n’est pas pour déplaire aux amateurs. Et après 9 volets, la quinquagénaire réussit encore à surprendre ses lecteurs.